deux bras ont suffi...
(...)Rien qu'un mouvementCe geste en dormantLéger qui me frôleUn souffle poséMoins Une roséeContre mon épauleUn front qui s'appuieA moi dans la nuitDeux grands yeux ouvertsEt tout m'a sembléComme un champ de bléDans cet univers(...)Aragon, Le roman inachevé, Gallimard, 1966.
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